Robe Mitsy

Je ne vais pas vous refaire le même topo au début de tous mes billets (fin de thèse, tout ça tout ça)… Disons une bonne fois pour toutes que je serai très irrégulière jusqu’en décembre (au moins).  Voilà voilà….

Le pire, c’est que j’ai des choses à vous montrer ! En effet, pendant les nombreuses semaines de temps pourri que Paris a dû affronter, j’ai craqué… Envie de tenues légères, de tissus à petites fleurs… J’ai fait une grosse commande chez Cousette, j’ai acheté des patrons qui me faisaient de l’œil et j’ai d’ors et déjà cousu deux robes, une jupe et un tee-shirt, auxquels il faut ajouter une troisième robe qui n’attend que son ourlet ! Maintenant qu’il fait enfin beau, je vais pouvoir photographier tout ça au fur et à mesure et ce blog va enfin reprendre un peu vie.

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Par contre, aujourd’hui, les photos ne sont pas de moi (et ça se voit ^^). Elles sont de Nessie, qui a très gentiment improvisé une séance photo lors de notre dernière rencontre des rédactrices (vivant en France) de Thread & Needles (PS1 : si vous ne connaissez pas encore, allez voir parce que ce site est trop bien) (PS2 : encore merci pour ce week-end les filles, ce fut une véritable bouffée d’oxygène).

Quand j’ai lu la revue de presse de Saki sur le Tendances Couture n°9, je suis tombée follement amoureuse de la robe n°34 : de petites fronces pour faire de la place à la poitrine, une ceinture ajustée juste en-dessous, d’adorables petites cap sleeves, une silhouette ayant l’air flatteuse. Que demande le peuple ? J’ai couru chez mon buraliste et, après analyse sérieuse du tableau des tailles, j’ai décidé de couper une taille 40.

TCn9Photos piquées chez Saki

Comme j’étais en gros besoin d’auto-remontage de moral (la fin de la thèse, tout ça tout ça *bis*), je me suis décidée à acheter un tissu sur lequel j’ai craqué dès qu’il est sorti (c’est-à-dire il y a des dizaines de mois) mais que je n’avais jamais osé acheter (parce qu’après il faut oser couper dedans) : le liberty Mitsy vert, de mignonnes petites fleurs beiges stylisées posées sur un fond dans des tons de vert pomme et de bleu-vert. Le genre de tissu qui hurle « printeeeeeeeeemmmmmmmps !!!!!!!!!! » et « soleeeeeeeeeeeeeiiiiiiiiiiiiil !!!! », bien plus coloré et vif de ce que je porte d’habitude et probablement le seul de ma garde-robe qui comporte un peu de jaune, mais je l’aime d’amour ^^

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Niveau réalisation il n’y a eu aucun souci, les consignes de montage de Tendances Couture étant bien plus claires que celles de Burda, d’autant plus que la construction de cette robe était ultra-classique. Pour ce qui est de l’ajustement, je n’ai eu qu’une seule mauvaise surprise : le haut du dos de la robe baillait énormément ! C’est un souci que j’ai déjà eu avec les patrons Vogue, il semblerait que j’ai un petit dos. Du coup j’ai décousu la fermeture éclair, coupé deux demis-triangles de tissu du haut du dos à la ceinture, puis recousu ma fermeture éclair. A cause de ça le décolleté est déformé et baille très légèrement (l’entoilage de la parementure aide à maintenir le tout en place), mais franchement à ce niveau-là c’est du pinaillage.

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Après cette légère modification, je suis ravie. La robe est pile poil à ma taille, confortable (raaaah, le liberty !), les finitions ont été soignées, la ceinture entoilée permet à la robe de se tenir et de faire relativement propre même quand la robe est toute froissée (comme sur les photos, prises en milieu d’après-midi après une virée chez Stop Tissu), ça tombe bien dans le creux du dos et dès que je la mets je souris ! Et finalement, c’est ça le plus important pour une petite robe 😉

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Bref, si vous hésitiez à coudre cette robe, arrêtez de tergiverser et lancez-vous, elle est top !

Chemise Reuilly

Aujourd’hui, je vous présente une couture EXCEPTIONNELLE : il s’agit d’une couture pour HOMME ! Cela faisait 3 ans que je n’avais plus osé coudre pour Cherzétendre… Mais quand j’ai feuilleté le burda de Décembre 2012, je suis tombée amoureuse de la chemise n°142. Jugez plutôt :

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Nous disons donc : un plastron, un col mao, un bas liquette (on oublie les manches en jersey, Mme Burda avait fumé ce jour-là). Une fois rentrée à la maison (ben voui, quand jachète le burda c’est le vendredi matin de sa sortie, sur le chemin du boulot, et je le feuillette avidement dans le métro, trajet aller et retour, voire même entre midi et deux), je montre la photo à Cherzétendre. Celui-ci, outre qu’il se découvre une certaine ressemblance capillaire avec le mannequin, admet que le modèle à l’air sympa. Donc banco, je fonce.

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J’ai commencé par mesurer Cherzétendre consciencieusement avec mon mètre de couturière. Et là, ce fut le drame comme dirait l’autre. Pour faire simple :
– Cherzétendre à besoin de la plus grande taille en hauteur
– Cherzétendre à besoin de la plus petite taille en largueur au niveau du ventre
– Cherzétendre a besoin d’une taille intermédiaire au niveau de la poitrine et des épaules

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Après avoir copieusement pleuré (bouhouhou, Mme Burda elle a dit que Cherzétendre il est pas bien fichu !), je remarque que le patron de la chemise ne commence qu’au 48, la taille qu’il faut à Cherzétendre au niveau de la carrure. Bon, alea jacta est, je recopie le patron en 48 en rajoutant « quelques » centimètres (10 à 15) en bas et au bout des manches.

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J’ai coupé tout ça dans un super coton à chemise Hermès (dégoté chez Sacrés Coupons, comme d’hab) gris clair à fines rayures gris ardoises. Histoire de me faire plaisir tout en restant dans quelque chose de très masculin et graphique, j’ai coupé le plastron à 90° par rapport aux autres pièces et j’ai joué avec du fil noir (surpiqûres et boutonnières). Mis à part le bas de la patte de boutonnage (que j’ai monté à la one again, je n’ai pas compris ce que disait Mme Burda à ce sujet) et le bas que j’ai fini avec un zigzag serré (faire un ourlet sur ces arrondis, c’était l’horreur), j’ai été ultra consciencieuse. Au final, je crois que c’est la couture la mieux finie de toutes celles que j’ai pu faire !

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Après premier essayage sur Cherzétendre, j’ai déchanté. Les épaules tombaient parfaitement bien mais il avait l’air d’avoir enfilé un parachute ! Du coup j’ai repris les coutures côté pour cintrer le tout. Au deuxième essayage, miracle ! Ça tombe bien, c’est beau, c’est propre, on ne vois pas que c’est cousu-maison. Un seul petit bémol : j’aurais dû élargir un peu les manches (pour compenser l’utilisation de coton à la place du jersey), le bas est un peu trop serré pour qu’elle puissent être confortablement retroussées (voir photo ci-dessous, qui est d’ailleurs la plus fidèle niveau couleur).

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Et puis je croise le regard de Cherzétendre… Ça se voit dans ses yeux, il n’aime pas. « Nan mais bon, c’est que je n’ai pas l’habitude, il faut attendre qu’il fasse beau et que je la porte tout une journée pour voir« . Ouais, je confirme, il n’aime pas… Suite à cet essayage, la chemise a passé 1 mois au placard, la faute à la météo.

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Ce dimanche, ENFIN du beau temps chaud et ensoleillé sur Paris ! J’ai donc profité d’une sortie le long de la promenade plantée avec halte au jardin de Reuilly pour faire le crash-test (et les photos) de la chemise. Verdict de l’homme : la chemise est confortable mais il trouve que le col Mao fait trop « décontracté », il ne la mettra pas au boulot (oui, Cherzétendre est un thésard classe, Cherzétendre ne va au boulot qu’en chemise, s’il porte un tee-shirt c’est qu’il y a un pull à col roulé par-dessus) mais le week-end si. Voilà voilà….

On se retrouve dans 3 ans pour la prochaine cousette masculine ! Vous arrivez à coudre pour des hommes vous ?

Robe Réglisse

Aujourd’hui, deuxième patron de la nouvelle collection Deer & Doe : la robe Réglisse.

 

Honnêtement, quand Nessie m’a envoyé le patron avec des indications de montage et un dessin technique, je n’y ai pas cru… Un élastique à la taille ? Franchement ? T’es sûre ? Tu peux m’envoyer une photo de ta toile que je voies à quoi ça ressemble en vrai ? Bon ben, d’accord, je vais la coudre mais je ne suis pas sûre du résultat là….

 

Petit apparté avant de rentrer dans le vif du sujet : ces photos ont été prises en Alsace, avec le soleil bas en plein dans les yeux, par une température inférieure à 5°C et par un photographe portant des lunettes ne correspondant plus à sa correction ! Du coup j’ai mis plein de photos dans ce post, parce que j’ai VRAIMENT souffert pour les obtenir.

 

J’ai coupé dans un coupon de coton vert tendre à petites fleurettes écrues (from Sacrés Coupons of course), en taille 40 (indiquée par le tableau des tailles pour ma poitrine et ma taille mais pas pour mes hanches, mais ça c’est une autre histoire ^^). La réalisation a roulé sans souci. J’ai particulièrement aimé l’astuce des manches « pliées en deux » qui fait une finition parfaite sur les bords des mancherons. Je n’ai fait aucun essayage en cours de route (c’est le jeu quand on teste des patrons : on le fait bêtement, sans réfléchir ni ajuster quoi que ce soit, pour voir si ça marche) et je suis restée dubitative tout le long de la couture; je n’arrivais pas à m’imaginer dans la robe que j’avais sous le pied de biche.

 

Toujours pas franchement convaincue, j’ai fini par enfiler la robe. Et là… Miracle ! Je l’aime, elle me va, elle tourne, elle est confortable, elle ne boudine pas ! De façon plus mesurée, j’aime beaucoup la forme de la jupe et du décolleté (pile la bonne profondeur pour moi). En plus de ça, c’est la première fois que je couds (et porte) un col lavallière et le rendu me plait beaucoup. L’association taille élastiquée et col lavallière est vraiment sympa, je trouve que c’est un super compromis confort/classe.

 

Je porte déjà énormément cette robe, avec des collants et un gilet vert ou noir, en espérant appeler le printemps ! Je suis déjà en train de penser à la prochaine version (j’assiste à 3 mariages cet été, il y en aura au moins un en Réglisse) : mousseline bleue marine avec col et/ou croquet (à l’ourlet) blanc (dans le style vacances balnéaires), ou mélange coton/soie prune ? A vous de voter !

Jupe Carduus

Le moment que vous attendiez tou(te)s est enfin arrivé : je vous montre ce que j’ai fait en cachette ces dernières semaines et dont je ne pouvais pas vous parler plus tôt ! Oui oui, c’est ça, ce sont mes versions de test de la nouvelle collection de patrons Deer&Doe ! Ben voui, non contente d’avoir été testeuse sur la première collection, je récidive sur la deuxième (Nessie, si tu m’entends, sache que je suis d’ores et déjà volontaire pour la troisième !!!).

 

Aujourd’hui, on commence avec la jupe Chardon. Je préviens tout de suite : j’ai voulu profiter du week-end de Pâques en Alsace pour faire des photos dehors mais cette séance photo avec Cherzétendre a été épique !!!! Entre la température (il faisait plus froid qu’à Noël, si si) et Cherzétendre qui y voit flou (il ne récupèrera ses nouvelles lunettes que samedi, si si bis), on a souffert…

Revenons sur la jupe, parce qu’à la base on est quand même là pour causer de ça ! Il s’agit donc d’une jupe taille haute, que j’ai cousu dans sa version sans empiècement contrastant (les associations de tissu, ce n’est pas franchement mon fort) et avec un noeud derrière (nan mais un noeud quoi, comment y résister ^^).

 

Aucun souci de couture, c’est du rapide et satisfaisant ! J’ai utilisé un coupon de coton gratté (tooooouuuuuut doux et fluide) turquoise pastel, trouvé chez Sacré Coupons (comme d’hab’). Au final, cette jupe est ultra confortable, elle a des poches (indispensable !) et je pense que je la porterai autant cet été qu’en ce moment.

Allez, pour la fine bouche et rien que pour vous, voilà ce qui se passe quand on demande à Cherzétendre « tu peux prendre une photo du noeud s’il-te-plait ? » :

Et le fait que le noeud soit de traviole ? Amour, tu n’as pas vu le noeud de travers ? Bah non, enfin si, mais euh… Vous avez les mêmes à la maison ? 🙂

A venir très vite : la robe Réglisse !

Red christmas

Pour fêter correctement Noël, il faut une belle robe, c’est bien connu ! Et puis ça tombait bien, j’étais tombée sur deux sublimes coupons chez Sacrés Coupons : un mélange soie et viscose, rouge pétant, doux, souple, avec un très joli tombé. J’ai alors repensé à un modèle du burda de novembre 2009, qui m’avait vraiment fait rêver :

Malheureusement, ce modèle est en taille longue. Et puis il faut plus que les 6m de tissu dont je disposais… Et puis je ne suis pas sûre que la taille placée comme ça m’irait vraiment… Du coup, je me suis rabattue sur un modèle du burda de juin 2011 :

On reste dans le même style (manches bouffantes avec poignets ajustés, jupe très ample) mais avec une découpe moins risquée (le cintrage sous la poitrine, c’estdu qui me va à coup sûr).

J’ai quand même dû enlever 2 cm de hauteur aux épaules pour que ça colle (sans ça la découpe théoriquement placée sous la poitrine arrivait au nombril) et plus de 5 cm à l’ourlet. Et, subtil détail qui ne vous aura pas échappé, j’ai zappé les manches ! Non seulement Cherzétendre l’aimait comme ça, mais en plus c’est plus facile pour porter un gilet et ça me donnera peut-être plus d’occasions de la ressortir ^^ Ceci dit, j’ai encore tout à fait de quoi les monter. Du coup je fais quoi, je laisse comme ça ou j’ajoute des manches ?

Petit ours vert

Vous avez cru que je pourrais voir passer un bébé tout neuf sous mon nez en me bornant à tricoter de la layette, sans lui coller le moindre doudou dans les bras ? Lourde erreur !

Pour le petit Johan, j’ai cousu l’ours des Intemporels Pour Bébés. Le patron est sympa mais c’est un peu fastidieux car il y a beaucoup de couture à la main. Ceci dit, c’était quand même plié en une bonne soirée.

Le tissu est une cotonnade à chemise de bonne qualité, achetée chez Sacrés Coupons à Paris. Assez douce et costaud pour plaire et résister à un petit bébé ^^ J’ai utilisé une chute à pois et une chute à carreaux pour l’intérieur des oreilles. Le rembourrage est anti-acariens et passe en machine.

Yapluka emballer !

La snoopuche

Enfin de retour avec de la couture ! On commence tout doucement, histoire de s’échauffer, par une snoopuche. Et une snoopuche, c’est ça (chez moi en tout cas…) :

C’est l’enfant de Mr Snood et de Mme Capuche. L’idée a été piquée chez Promod (on cherchait un cadeau pour une nana frileuse…). En fait c’est bête comme chou, à base de rectangles et puis c’est tout. Histoire de me compliquer un peu la vie, j’ai entièrement doublé ma snoopuche de voile de coton noir. L’extérieur est une maille trop chouette, de chez Stop Tissu.
Ca donne un bon doudou d’hiver, qui tient chaud au cou et aux oreilles.
Bref, une heure de travail (conception comprise) qui paie ^^

Vous  aurez noté que, pour la première fois, j’ai laissé ma tronche entièrement visible sur la photo. Cela pour deux raisons : la première, c’est que si je cache mon visage la snoopuche perd son faire-valoir. La deuxième, c’est qu’après avoir pas mal discuté du fait de mettre sa tête sur internet je ne suis plus aussi butée sur le sujet. Alors à partir de maintenant, soit j’ai une bonne tête sur la photo et je la laisse, soit ça craint et je la cache. Na !

Fière

Je ne
m’étais encore jamais frottée à une veste, ni a un vêtement avec doublure fixe
(je n’avais doublé que des jupes ou des robes, ce qui
revient surtout à rajouter une couche de jupon)
. Mais, défi de Dans nos armoires oblige, je devais
m’y mettre. Après quelques recherches, j’ai fini par trouver ZE
modèle, avec ZE
explications qui vont bien et ZE
patron à imprimer.


Pis ça tombait bien, il me restait un bout de mon coupon de « jean
feutré » (explications dans le post juste en dessous). J’ai utilisé un
tissu synthétique (qui glisse bien) bleu clair pour la doublure, un peu de
biais de la mercerie St Pierre pour les finitions des manches et des boutons
from mon trésor.


Niveau modifications du patron, j’ai juste ajouté des poches, cachées dans la
doublure, avec des petits rubans pour faire des petits noeuds pour fermer les
petites poches.


J’y ai passé toute ma soirée, jusqu’à minuit… Et je l’ai trop bien réussie,
cette veste/cape ! Pour une fois que je suis aussi contente de mes finitions,
j’en profite, voilà tout pleins de gros plans !



Et je vous mets quand même des photos de la veste en entier ^^

Bilan : suis TROP CONTENTE !

La robe cocholat

Je suis du genre gourmande, du genre qui apprend à dire gâteau avant de savoir dire maman (je profite de l’occasion qui m’est donnée pour présenter mes plus plates excuses à ma génitrice… Désolée !), du genre qui boulotte une tablette de chocolat pour se remonter le moral. Du coup, j’avais envie d’une petite robe couleur chocolat. J’avais aussi envie d’une petite robe toute simple, du genre sans fermeture éclair pour être 100% confortable. J’ai finalement combiné les deux et fait ça :

Le patron a été fait maison, à partir d’une nuisette en tissu pas extensible (qui s’enfile facilement par la tête mais ne fait pas sac). Pour réaliser cette robe, j’ai utilisé 3 langes en coton de chez Monoprix, que j’ai teint au Dylon. C’est très très TRES très agréable à porter, mais beaucoup moins à travailler (la trame est très lâche…). J’ai aussi utilisé un morceau de coton à pois blanc de chez la droguerie. Et admirez le joli galon :

Je l’ai acheté aux puces de la porte de Vanves. J’ai craqué sur son côté années 60. Il y a pas mal d’imperfections, surtout à cause des langes difficiles à travailler, mais rien de trop visible.

Pour conclure, voici la fiche technique : FC_0610_robecocholat. Je crois que cette petite robe sera dans la valise cet été !

Youhou !!!!

C’est trop la fête de chez la fête !

     – J’ai fini mon M2 (soutenance de stage ce matin) donc je vais être plus cool et avoir plus de temps pour bidouiller
– Il fait beau, ce qui est quand même ‘achement meilleur pour le moral
– J’inaugure un nouveau format de post (explications plus bas)
– J’ai enfin fini ma nouvelle robe chouchou qui est pas top pratique mais que j’adore déjà

Je vous livre cette robe dans toute sa splendeur (je l’èèèèèèèèèèèèèèèèème) :

Il s’agit de la robe 117 du burda de juin. Elle est longue, donc parfaite pour protéger mes gambettes de rousse (non, je ne suis pas vraiment rousse, mais ma peau si…). Elle est blanche, parfaite pour supporter la chaleur. Elle est faite de deux épaisseurs de voile de coton, parfaitement douce pour ma peau de rousse sensible (oui oui, je cumule, et en plus je suis difficile). Et, le top du must du c’est trop bien : elle fait frr-frr quand on marche !
Par contre, on m’a demandé plusieurs fois si je me mariais en fin de journée… Conclusion : à accessoiriser avec de la couleur.

Il y a quelques temps j’avais commencé à faire de jolis fiches façon scrapbooking pour constituer une sorte de fichier. Mais c’est tellement long à faire que je n’arrive pas à le faire régulièrement…  Eolune a testé le « post fiche technique » mais le blog perdait en convivialité, elle y a renoncé… Nouvelle proposition : la « fiche technique informatique »., fournie en fin de post. Que voici : FC_0610_robeblanche. Ca vous parait comment cette affaire ?