Me revoilà, comme promis, en direct de la maison parentale ! Tout d’abord, JOYEUX NOEL à vous qui passez par là !!! J’espère que vous avez pu profiter de quelques jours (ou au moins heures) de détente, et que les plans que vous avez pour le réveillon à venir vous enthousiasment.
Aujourd’hui, nous allons parler revanche. J’étais restée sur un goût amer avec mes Tania Culottes : le tout avait l’air prometteur mais nécessitait des aménagements pour être réellement satisfaisant. Quand je suis tombée sur le velours ras gris à pois argentés de chez France Duval-Stalla, je n’ai pas pu m’empêcher d’en prendre pour moi (en plus d’en acheter pour un cadeau de grossesse). Ce tissu étant à la fois lourd et relativement fluide, il était un candidat parfait pour retenter l’ascension du mont Tania.
J’ai modifié le patron comme je l’avais prévu la dernière fois : allongement de la fourche des pièces arrières (pour caser mon postérieur épanoui), un chouïa d’élargissement (quasiment rien, mais je trouve la précédente un poil trop serrée à la ceinture) et ajout de poches (une jupe d’hiver doit FORCEMENT avoir des poches, parce que je suis forcément enrhumée en cette saison et donc fortement dépendante de ma capacité à transporter des paquets de mouchoirs). Je ne vous cache pas que j’en ai eu des sueurs froides : couper un coupon ultra précieux selon un patron qui n’a pas fait ses preuves et en le modifiant ? Kamikaze !!!!
Mais au final, tout a heureusement très bien tourné ! Je me sens parfaitement à l’aise dans cette jupe culotte et je craque pour son côté ballerine des neiges. Du coup je la porte principalement avec un cache-coeur (pour un repas de Noël je suis allée jusqu’au chignon sur le sommet du crâne et les guêtres en laine aux chevilles – et non pas l’inverse, ce serait bof voire beurk). Et, comme Mamie a eu une super idée, je la copie honteusement : j’ai bricolé un petit gif pour vous montrer à quel point les Tania Culottes sont sublimes en plein remuage de hanches. TadaaaAAAAAAAAaaaaa, admirez la bête !
Malheureusement, cette jupette a créé un schisme familial. Je l’aime, ma mère trouve que ça ne me met pas en valeur. Et, du coup, je ne peux pas m’empêcher de douter. Alors, je fais quoi de cette Tania ? Réponses possibles :
– je continue à la porter
– je la brûle
– je la garde pour les grandes occasions
– Obi Wan Kenobi
– je la planque au fond du placard
– la réponse D
– je ne la porte plus qu’à la maison
– autre proposition ^^