Le PULP

Chaque jour de travail, je dois passer une heure dans le métro. J’ai une telle impression de perdre mon temps ! Du coup il faut obligatoirement que je m’occupe. Des fois je tricote, d’autres fois je lis.

Les problèmes logistiques liés au tricot on déjà été réglé grâce au STIDA, aujourd’hui c’est au tour des problèmes logistiques liés à la lecture. Car OUI, il y en a ! Deux soucis majeurs :

  • le marque-page qui glisse hors du livre et se perd
  • le livre qui s’abime quand on le fourre dans le sac à main en sortant du métro et qu’il y reste toute la journée

J’ai recherché des tutos de protège-livres sur internet, mais je n’ai rien trouvé qui me satisfasse vraiment… Soit ce sont des pochettes dont il faut totalement sortir le livre pour le lire, ce que je trouve assez peu pratique, soit ce sont des couvertures qui ne protègent pas les coins et la tranche du livre. Du coup, j’ai fait mon propre modèle.

Mesdames et messieurs, je vous présente donc le PULP , ou Protection Universelle pour Livre de Poche !

Analysons la bête. Le PULP tient au livre grâce à un passant à droite et un repli à gauche. Le ruban fait  office de marque-page. Il ne reste plus qu’à bien envelopper le livre et à passer l’élastique autour (élastique fixé au PULP, aucun risque de le perdre) et ça y est, c’est fini, le livre est protégé ! Petite explication en image :

Les dimensions du bazar et les positions des divers éléments ont été calculées de façon à ce que le PULP convienne à tous les livres de poches dont l’épaisseur est comprise entre 1 et 4 cm.

Au niveau du choix de tissu et de décorations, je dois avouer que j’ai donné dans le sentimental… J’ai utilisé une chute du tissu dans lequel ma mère avait cousu ma robe de princesse de petite fille. Les appliqués (très cracra, je sais…) représentent mes deux premiers rats, Zibus (et voui, c’est de là que vient Zibusine) et Dagobert. D’ailleurs toutes les finitions sont un peu cracra, mais j’ai une bonne excuse : c’est une de mes toutes premières « vraies » coutures ! En fait je l’avais fait avant d’ouvrir mon blog, et du coup je ne vous l’avais encore jamais présenté…

Et depuis, le PULP a fait ses preuves. Je ne lis plus sans « pulper » mes livres, du coup quand ils rejoignent l’étagère du salon, ils sont encore en bon état cosmétique et tout à fait présentables ^^

Suzette

Attention, attention, grande nouvelle : enfin un post couture ! Wouhou !

C’est l’histoire d’un coupon de liberty ramené de Londres en mai de l’année dernière, dans lequel je n’osais pas couper. Deux petits mètres prévieusement conservés. Et, il y a deux ou trois demaines, j’ai enfin trouvé le patron de robe idéal pour les mettre en valeur ! Dans la foulée, j’ai aussi fait les accessoires qui vont avec.

Comme je suis sadique et que j’aime bien vous faire languir, je commence par les accessoires ^^

Tout d’abord une petite parure collier+BO :

Un petit bout de liberty et un petit morceau de dentelle sont pris sous la loupe du pendentif. Une petite pendeloque est là pour décorer le dos (teaser : vous comprendrez pourquoi en voyant la tenue complète ^^) et des pendeloques similaires se retrouvent sur les boucles d’oreille. Du basique, de l’efficace, rien de très original je vous l’accorde.

Le deuxième « accessoire » est un serre-tête/bibi qui reprend les tissus de la robe (dentelle et bouton du stock). Un petit air de rétro qui va bien ^^

Passons à la fameuse robe Suzette ! Le patron : crepe, de Colette pattern (vous admirerez au passage mon sens de l’humour et mon jeu de mot d’une qualité rare… Qui a dit « et c’est tant mieux » ?), il s’agit d’une robe cache-coeur croisée dans le dos et ceinturée, AVEC DES POCHES.

J’ai tout bien suivi le patron ! Ou presque…

  • pas de parementure entoilée parce que je n’aime pas l’entoilage…
  • … du coup j’ai doublé toute la robe !
  • les coutures retournées qui lient la doublure à l’extérieur de la robe sont toutes surpiquées
  • les finitions des manches et du bas de la robe ont été faites avec la technique du biais (rapide, simple, joli, j’adore faire comme ça ^^)
  • le patron annonce qu’il faut plus de 3 mètres de tissu. Voui, d’accord, mais moi je n’en avais que 2… Du coup, je l’avoue, j’ai fait ma sauvage. Je n’ai absolument pas respecté le droit fil, sauf pour les pièces du milieu devant ! Et ça rentre à un cheveux près, après une quarantaine de minutes de tétris couturistique. Et, même si je sais que c’est mal, il faut bien reconnaitre que là ça ne se voit pas du tout (le motif n’a pas de sens clair et le tombé de la robe est donné par la lourde doublure).

Le tissu principal de la robe est donc ce fameux liberty ramené de Londres. La ceinture contrastante est un heureux hasard : une cotonnade du stock, qui se marie à merveille avec la couleur gris-vert pourtant inassortissable du liberty. La doublure est faite avec une doublure épaisse noire de chez Stop Tissu.

Attention, avalanche de photos !

Soyons clairs : je l’adore déjà ! Trois petites choses à noter sur la photo de dos :

  • Cherzétendre n’a pas encore compris que, quand il me prend en photo, il doit me prévenir si la façon dont je me tiens fait que la robe tombe bizarrement…
  • les deux pans du dos se recouvrent bien, pas de risque de se retrouver le popotin à l’air (ouf !)
  • la fameuse pendeloque arrière du collier vient décorer le beau décollleté en V du dos, suite à une remarque du sus-nommé Cherzétendre sur la beauté du lui-aussi-sus-nommé décolleté dos

Je pense qu’il y en aura d’autres ! J’en referai probablement au moins une pour aller au mariage du cousin de Cherzétendre cet été, j’attends juste l’invitation pour avoir une idée du style à adopter ^^

A part ça, une bonne nouvelle avant de vous laisser : j’ai reçu le patron pour ma jupe de mariée, je vais donc pouvoir me lancer dans la réalisation d’une toile. Je vous montre ça dès que c’est fait bien sûr ^^

Attention !

 Plus stylées que les dalton…

Plus moins nombreuses que le gang des 5….

Plus félines que le scooby-gang (parce que dans le gang il y a Félicie… Que toutes celles d’entre vous qui ont dit « AU-SSI » devant leur ordi avouent publiquement leur honte ^^)

Plus bruyantes que les Beatles…

Les filles du gang de la marinière ! Hou la belle brochette !

Parce qu’à la base, la marinière, c’était un défi collectif, avec une partie des tricoteuses du mercredi. Défi rempli, chacune a bien tricoté : moi (je sais que ça ne se fait pas de se mettre en premier, mais ce n’est quand même pas de ma faute si je suis à gauche…), Mag, Hélène et Mathilde (et merci à Saki qui, non contente de nous supporter, a pris la photo ^^)

EDIT : on me fait remarquer que je m’a trompée… Saki nous a appris à faire des headbands, mais c’est Tamanoir qui a pris la photo !

Ce qu’il y a de plus chiant dans l’enseignement…

… C’est de surveiller les interros ! Et certains élèves, mais bon, voilà quoi… Mes élèves ont dans les 21 ans (ou plus… Pour la première fois cette année je suis la plus vieille de la salle quand je leur fait TD, yeah !) , ils sont en école d’ing’, et quand ils ont une heure d’interro je m’ennuie ferme. Parce que même à cet âge-là, croyez-le ou non, il faut les surveiller pour qu’il ne trichent pas ! Et oui ma bonne dame ! Du coup impossible d’avancer sur l’autre partie de mon boulot (c’est-à-dire ma thèse) pendant ce temp de contrôle.

Donc petit tricot simple qui ne retient pas trop mon attention, et ZOU ! La preuve en image (photo portable = qualité pourrie, désolée) :

Et vous, quelles sont les situations les plus extrêmes/originales/surprenantes/inavouables dans lesquelles vous tricotez ?

 

Oh mon batOOooOOoo !

Je n’avais encore jamais réussi à tricoter autre chose qu’un accessoire. Du coup, pour trouver la motivation (et le courage), je me suis lancée dans un défi marinière avec ces trois filles.

J’ai choisi un modèle de phildar (clic sur l’image) :

Par contre j’ai fait quelques modifications :

  • pas de mailles filées grungy style (suis frileuse… Et puis s’il fallait toujours assortir les tee-shirts aux pulls… Pfou, trop dur…)
  • pas de pressions ni d’épingles sur les épaules (ça sonne à l’aéroport et ça fait mal sous la sangle du sac à main)
  • partie basse (sous la taille) élargie pour caser mes hanches sans boudinage
  • pas d’encolure renforcée au crochet en maille serrées, parce que je ne sais pas faire et je n’ai pas trouvé d’explications suffisamment claires sur le net. Du coup, pour finir joliment, j’ai tricoté un long boudin en I-cord que j’ai cousu à la main tout le long de l’encolure
  • assemblage à la machine plutôt qu’à la main (par manque de courage, avouons-le), et ça le fait !

Au final ça donne ça :

Je suis bien contente d’avoir élargi le bas, sinon ça aurait été bizarre (large en haut et serré sur les hanches, ça ne me mets pas en valeur, mieux vaut que ce soit un peu large de partout).  Malgré ça c’est ‘achement moins large et loose que sur le mannequin… Ceci dit, du coup je pense que ce serait sympa avec une petit jupe bleue marine…Idée à creuser ^^
En théorie, j’ai pris les mêmes laines et dans les mêmes coloris que sur la photo phildar… Mais le rendu est loin d’être le même ! Ah, photoshop, quand tu nous tient… Bon, ce n’est pas bien grave hein, c’était juste une petite remarque en passant ^^
J’aime particulièrement les manches eeeeeeeeeeeeeextra longues pour mettre les mimines au chaud. En tout cas ça me fait un bon basique, qui manquait à ma garde-robe et qui va bien servir !

Le top, ça a été d’arriver avec la marinière sur le dos au boulot ce matin : j’ai beau ne bosser qu’avec des mecs, comme ça faisait un mois qu’il me voyaient arriver le matin en tricotant des rayures, ils ont fait le rapprochement ^^

{Le corset} Première toile

Je sors tout juste de mon deuxième rendez-vous avec la corsetière ! Et je me suis dit que ça vous intéresserait peut-être de suivre la réalisation complète du corset par une pro, j’inaugure donc le feuilleton du corset ! Youhou !

Aujourd’hui j’ai essayé la toile non baleinée de mon futur corset de mariée (mode bridezilla on – Hiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!!!! – mode bridezilla off). Du coup ça plisse et ça ne tient pas bien en place quand on ne le tient pas à la mimine, donc les photos ne vous parlerons peut-être pas beaucoup ^^

Heureusement, ça parle à la corsetière ! La toile est beaucoup trop large, les deux bords se touchent carrément dans le dos. Du coup ils vont être sérieusement rabottés. La corsetière a également marqué (directement sur la toile, au feutre) les reprises à faire sur le côté des seins, juste sous la poitrine et en bas du bidou (c’était un peu trop large). Pour finir, elle a dessiné au feutre l’emplacement des baleines sur la moitié du corset (l’autre sera faite par symétrie).

Vous vous souvenez peut-être que, sur le dessin original, une petite ouverture ronde était prévue dans le décolleté. Là elle est juste dessinée à la craie sur le tissu (les traces blanches sur les bandes noires du devant), mais ça m’a permis de me rendre compte que cette ouverture était finalement franchement trop profonde et provocante à mon goût. Du coup, on a décidé de ne pas faire cette ouverture mais de creuser un tout petit peu plus  (pas plus d’un centimètre) le décolleté au centre, pour faire un décolleté en forme de coeur.

Voilà voilà, rendez-vous la dernière semaine d’Avril (argh, c’est loin !) pour l’essayage de la toile retouchée et baleinée !

{La robe} Enfin des nouvelles fraîches !

ATTENTION : vous qui êtes invités au mariage et ne devez rien savoir (je sais que vous vous reconnaîtrez…), passez votre chemin !

Je disais donc : enfin des nouvelles fraîches de ma robe de mariée !

Le corset

Pour commencer, le corset est choisi ! J’ai finalement décidé de le faire faire par Volute Corset, une boutique parisienne spécialisée dans le corset sur mesure. J’ai été reçue par Hélène, l’une des couturières, qui a passé pas moins de 2h avec moi. Nous avons discuté à partir des photos et des dessins que j’avais amenés, puis j’ai essayé des corsets.

Le premier était un modèle victorien long. Vraiment joli et confortable, j’ai beaucoup aimé. J’ai ensuite essayé un corset sur lequel j’avais flashé en le voyant exposé dans la boutique, un corset de type belle époque. Et là ça a été un vrai coup de coeur. C’est vraiment à moi cette taille fine ? Ca peut être beau des hanches épanouies comme les miennes ?

Avant de vous montrer les photos, quelques précisions tout de même :

  • les photos ont été prises avec mon portable, vu que j’avais bêtement oublié mon appareil photo, désolée…
  • ce corset-ci était trop petit pour moi, d’où d’évidents défauts quand je le porte (laçage trop largement ouvert dans le dos, replis de peau au-dessus du corset)

J’adore vraiment les découpes de ce corset, qui convient parfaitement à ma cambrure et à mes hanches. C’est impressionnant de sentir la tension avec laquelle la couturière serrait le corset, alors que je m’y sentais parfaitement bien, à l’aise.

Une fois le modèle choisi, nous avons parlé de tout le reste (tissu, déco, couleur des oeillets…), sachant que je voulais du blanc pur (oui, je sais, ça fait vieux jeu, mais j’adore) et surtout rien qui brille. Ce jour-là j’ai découvert un super tissu grâce à la couturière : le satin de coton. Un joli tombé, pas brillant mais pas non plus complètement mat, il est utilisé principalement pour de la literie « de luxe » (et pour ma robe de mariée du coup ^^). Voilà en gros à quoi on est arrivées :

Les bandes les plus pâles seront réalisées en satin de coton, les bandes plus foncées en broderie anglaise blanche. Le busc (attaches métalliques à l’avant) sera caché par une bande de broderie anglaise sur laquelle seront cousus de petits boutons recouverts de satin de coton. Les espèces de triangles sur les hanches correspondent à des triangles de guipure (sorte de dentelle) appliqués sur les hanches.

 

Le jupon

Je réaliserai moi-même un jupon en broderie anglaise, avec de petits noeuds de rubans de toutes les couleurs sur le bas (et pas de cerceau, je trouve ça franchement désagréable à porter).

 

La jupe

Pour ce qui est de la jupe, c’est une autre histoire, je n’arrive pas à me décider. Je ne veux pas d’effets de matière de folie (genre plissés, bouillonnés) mais je veux de l’ampleur dans le bas de la jupe (que ça fasse frrrrfrrrfrrr contre les mollets) sans pour autant avoir l’air d’une petite grosse à côté de mon grand maigre de fiancé. Et je veux pouvoir danser. Et ça devra être réalisé en satin de coton, pour aller avec le corset.
Je pense finalement la coudre moi-même, parce qu’une jupe ample est largement dans mes compétences de couture mais couterait très cher à faire faire par une couturière (faire un ourlet de 6m, c’est long…).

Là, du coup, j’ai besoin de votre avis.

Pour commencer j’ai fait un essai de jupe cercle toute bête, sans finition d’aucune sorte, juste pour voir le rendu. Je l’ai essayé avec un bustier baleiné (de chez Mim, la classe) pour avoir une idée du rendu final (mais on en est très loin , je m’en rend compte maintenant que j’ai essayé un vrai corset^^). Merci de ne pas commenter ma tronche… Il était tard…

J’aime assez, mais ça me parait presque trop simple…

Du coup j’ai cherché d’autres patrons, et j’ai fini par tomber sur ces-deux là, qui sont de Truly Victorian (clic sur les images pour aller sur la page correspondante) :

       

Notons que, en terme d’époque, la jupe et la traîne ci-dessus ne sont pas trop éloignées du corset choisi (période belle époque). La jupe (à gauche) me semble bien répondre au cahier des charges (ampleur en bas, mais fine de face). La traîne détachable (à droite) est, comme son nom l’indique, amovible : ça pourrait être un bon moyen d’avoir une jupe plus « impressionnante » pour la cérémonie, puis je pourrai l’enlever le soir pour danser. Mais la traîne détachable fait débat : la témouine aime, la mère n’aime pas. Et moi je n’arrive pas à me décider… AAAaaaaAAAAAaaaAA !

Les options sont donc :

  1. Seulement la jupe cercle
  2. Seulement la jupe de Truly Victorian
  3. La jupe cercle + la traîne amovible
  4. La jupe Truly Victorian + la traîne amovible
  5. Une autre proposition ?

Qu’est-ce que vous préférez ? Pitié, aidez-moi ! Donnez votre avis !

Bonne nouvelle pour les impatientes de la saga de la robe de mariée : je vais essayer la toile du corset mercredi, donc très vite de nouvelles photos !

Première layette

Je précise tout de suite : non maman, je ne suis pas enceinte !

Ce sont des amis avec qui on a été en cours qui vont avoir un bébé… Le coup de vieux ! Enfin bref, le futur papa étant de passage chez nous cette semaine, je voulais faire un petit quelque chose pour le bébé. L’occasion de tricoter de la layette pour la toute première fois ^^
Pour un bébé de printemps, dont on ne saura que le jour J si ce sera il ou elle, de petits chaussons tout mignons aux couleurs asexuées :

Je les ai tricotés à partir du patron des tiny shoes d’Ysolda, en aiguilles 3, avec du coton bio (matière et teinture bio). Le patron était très bien expliqué, je n’ai rencontré aucune difficulté particulière (si ce n’est que c’est tout petit petit).

Ma grande fierté ? Avoir réussi à faire deux pieds différents et pas deux pieds gauches, histoire que bébé ne parte pas dans la vie avec un gros handicap ^^

And ze winneure ïzzzzzz….

Tirage au sort : done ! Merci à tou(te)s les participant(e)s ! Impatient(e)s de voir les résultats ? Here it iz (oui, je me sens d’humeur bilingue aujourd’hui…) :

Il y avait 19 commentaires en tout, le nombre 10 a été tiré donc c’est le 10ième commentaire qui a gagné. (net, simple, efficace…). Et c’est (drum rolling… Extrem suspens…)… DEXTER L ! (clic clic sur son nom pour arriver sur son blog)

Donc je vais aller explorer son blog in length, in large and in travers (voui, le bilinguisme se dégrade à partir de 21h) pour concocter un colis surprise susceptible de lui plaire ^^

Merci beaucoup pour vos remarques, merci d’avoir joué le jeu et donné votre avis ! J’ai bien entendu le principal reproche que vous m’avez fait : la robe de mariée se fait attendre et se laisse désirer. Mais ça y est, il y a du nouveau ! Le temps de rédiger ça correctement et je vous en reparle (^.^)

L’aiguille en fête

Avec Hélène et Mag, nous avons fait un petit tour à l’aiguille en fête, un salon qui se tenait (se tient encore aujourd’hui) à la Vilette, porte de Pantin.
Au final je suis un peu déçue : il y avait surtout des exposants orientés broderie et patch, mais très peu d’autres tissus et de laine. En plus de ça, j’ai toujours un peu de mal avec le concept « payez 12 euros et vous pourrez entrer dans une pièce où plein de gens ont plein de trucs à vous vendre ». En bref : je l’ai fait, je ne le ferai plus ^^

Mais il y avait quand même un avantage à ça : j’ai réussi à rester raisonnable ^^. Voilà ce que j’ai ramené :

     – un petit machin pour faire du biais facilement et sans se brûler avec le fer à repasser

     – un fermoir et une chaînette pour faire un petit sac à main (pour le mariage d’un cousin cet été)

     – du liberty montgolfière (ne me demandez pas son véritable nom) pour une belle petite robette de printemps/été

     – de la laine multicolore pour une écharpe en dentelle pour le printemps

Ce qui se dégage de ces achats ? Le besoin de soleil !

PS : n’oubliez pas le petit jeu, juste , un colis surprise à gagner !