Quand j’entends « bloomer », me vient directement en tête cette vieille chanson… Boum ! Quand notre cœur fait boum ! Tout avec lui fait boum ! D’où le jeu de mot de haute voltige qui fait office de titre pour cet article. Désolée, que ce soit génétique ou dû à l’environnement dans lequel j’ai grandi, je blâme de toutes façons mon père pour ça.
Je me souviens que la première fois que j’ai vu un petit garçon en bloomer, c’était chez Clm&Co. Et j’ai tout de suite adhéré ! J’ai trouvé ça tout simplement trognon et en prime ça parait bien confortable pour le petit bout qui le porte. Du coup j’ai voulu en coudre pour mon Njüt à venir. Après validation par Cherzétendre (Euh… Oui, ok, mais tu ne lui en mettras pas trop tard hein, seulement quand il est petit ?) j’ai fait une rapide recherche internet et me suis arrêtée sur le tuto de bloomer de Petit Citron.
Impression, scotchage, découpage, coupe, couture, tout est allé très vite et sans souci. Il faut dire que c’est tout de même ultra basique ça comme projet ! Du coup dans la lancée j’ai cousu deux bloomers en même temps : un « douillet » en tissu chaud tout doux à motif écossais bleu et beige (j’avais un petit reste après avoir cousu cette jupe, il y a… 5 ans o.O) et un « qui va avec tout » en cotonnade grise à trame blanche (reste cette fois-ci de ma bleuet adorée, qui elle n’a « que » 2 ans et demi, tout cela ne nous rajeunit pas ma bonne dame).
Un petit souci à signaler tout de même : après impression, j’ai constaté que mon carré de test faisait 4,8 cm au lieu de 5 cm. Bon. J’ai passé outre et ai tout de même cousu du 3 mois comme je l’avais prévu, en me disant que sur un vêtement de ce genre ce n’était pas dramatique… Au pire ce sera porté un poil plus tôt.
Mis à part ça je n’ai pas grand chose à dire de ces bloomers… Quand Njüt aura pointé le bout de son nez on verra ce que cela donne en vrai, en attendant ils ont été amoureusement lavés et rangés dans LE tiroir de la commode que j’ouvre régulièrement, juste pour le plaisir de voir ce qu’il y a déjà dedans… (*en mode rêvasse les yeux dans le vide, un sourire béat sur les lèvres, jusqu’à ce que le sus-nommé Njüt ne me rappelle à la réalité par un bon coup de talon dans les côtes*)