Des coupons très disputés

En été, ce qu’il y a de plus agréable à porter, c’est le voile de coton (enfin je-trouve-personnellement-ça-n-engage-que-moi-après-pour-ce-que-j-en-dis…). Et ça tombe bien, j’en ai trouvé deux jolis morceaux chez Sacrés Coupons : un rose et un vert, mais des couleurs tout en demi-teintes, très fines.
Le projet initial était de réaliser une jupe longue en deux partie : une sur-jupe en broderie anglaise blanche et un jupon en voile de coton, mais interchangeable le jupon (un rose et un vert, of course). J’ai commencé par le tissu rose, j’ai fait un truc bateau à base d’un demi-cercle pour chaque tissu, et ça donne ça :

J’adore porter cette jupe ! C’est doux, ça froufroute, c’est léger. J’attendais juste d’avoir cousu le deuxième jupon avant de vous la montrer.

Arrivait l’heure où j’allai faire sa fête au coupon vert… Oui, MAIS un autre projet a pointé le bout de son nez ! J’avais acheté un coupon de coton « forêt enchantée » (ou « forêt merveilleuse », je ne sais plus trop) chez La Droguerie, mais trop petit pour réaliser une pièce seule. Et, en lui cherchant des copains tissus, je me suis rendue compte que mon voile de coton vert était parfaitement assorti ! Comme le reste de broderie anglaise et un tissu à fines rayures se sont aussi invités dans la partie, le coton vert changé de projet.

J’en ai fait une petite robe d’été, tout en légèreté, en réutilisant pour la partie poitrine le même patron que la robe blanche (ben voui, déjà testé et approuvé, la flemmaaaaaaaaaaaaaaarde) et pour la partie basse des demi-cercles (il faut croire que c’est le début d’une grande histoire d’amour entre mes fesses et les demi-cercles). Et voilà :

C’est vrai que cette robe me fait la croupe généreuse, ceci dit c’est effectivement le cas et je le vis bien (je préfère ça au petit bidou). Et en plus, petit détail de la mort qui tue, cette robe tourne !

Je vais peut-être y ajouter quelques boutons de bottines verts que j’ai en stock, mais ce matin je n’avais pas le temps de le faire avant de partir bosser 😉

Les fiches techniques : FC_0610_juponinter et FC_0710_robeverte

La robe cocholat, le retour…

J’ai porté ma robe cocholat deux jours et… Aaaaaaaaaaaaaaaaarg ! Elle n’est plus mettable « sérieusement » ! Je m’explique : au niveau des coutures des pinces de poitrine, la trame du tissu a bougé sous l’effet des sollicitations mécaniques diverses et variées (portage de sac à dos, portage de sac à main, respiration, tout ça tout ça…). Résultat : des simili-trous qui n’en sont pas (aucun fil déchiré) mais qui sont bien là quand même !

Conclusion :
     – je garde ma robe pour traîner chez moi et pour aller à la plage cet été, elle n’est pas perdue malgré ce piti souci
     – ne pas coudre avec des langes monoprix, ou alors quelque chose de bien large et lâche, ou alors en renforçant le tissu (doublure par exemple, ou travailler directement le lange en double épaisseur, ça règlerait aussi le problème de la légère transparence).

En espérant que ce petit retour sur expérience sera utile à quelqu’un 😉

La robe cocholat

Je suis du genre gourmande, du genre qui apprend à dire gâteau avant de savoir dire maman (je profite de l’occasion qui m’est donnée pour présenter mes plus plates excuses à ma génitrice… Désolée !), du genre qui boulotte une tablette de chocolat pour se remonter le moral. Du coup, j’avais envie d’une petite robe couleur chocolat. J’avais aussi envie d’une petite robe toute simple, du genre sans fermeture éclair pour être 100% confortable. J’ai finalement combiné les deux et fait ça :

Le patron a été fait maison, à partir d’une nuisette en tissu pas extensible (qui s’enfile facilement par la tête mais ne fait pas sac). Pour réaliser cette robe, j’ai utilisé 3 langes en coton de chez Monoprix, que j’ai teint au Dylon. C’est très très TRES très agréable à porter, mais beaucoup moins à travailler (la trame est très lâche…). J’ai aussi utilisé un morceau de coton à pois blanc de chez la droguerie. Et admirez le joli galon :

Je l’ai acheté aux puces de la porte de Vanves. J’ai craqué sur son côté années 60. Il y a pas mal d’imperfections, surtout à cause des langes difficiles à travailler, mais rien de trop visible.

Pour conclure, voici la fiche technique : FC_0610_robecocholat. Je crois que cette petite robe sera dans la valise cet été !

Youhou !!!!

C’est trop la fête de chez la fête !

     – J’ai fini mon M2 (soutenance de stage ce matin) donc je vais être plus cool et avoir plus de temps pour bidouiller
– Il fait beau, ce qui est quand même ‘achement meilleur pour le moral
– J’inaugure un nouveau format de post (explications plus bas)
– J’ai enfin fini ma nouvelle robe chouchou qui est pas top pratique mais que j’adore déjà

Je vous livre cette robe dans toute sa splendeur (je l’èèèèèèèèèèèèèèèèème) :

Il s’agit de la robe 117 du burda de juin. Elle est longue, donc parfaite pour protéger mes gambettes de rousse (non, je ne suis pas vraiment rousse, mais ma peau si…). Elle est blanche, parfaite pour supporter la chaleur. Elle est faite de deux épaisseurs de voile de coton, parfaitement douce pour ma peau de rousse sensible (oui oui, je cumule, et en plus je suis difficile). Et, le top du must du c’est trop bien : elle fait frr-frr quand on marche !
Par contre, on m’a demandé plusieurs fois si je me mariais en fin de journée… Conclusion : à accessoiriser avec de la couleur.

Il y a quelques temps j’avais commencé à faire de jolis fiches façon scrapbooking pour constituer une sorte de fichier. Mais c’est tellement long à faire que je n’arrive pas à le faire régulièrement…  Eolune a testé le « post fiche technique » mais le blog perdait en convivialité, elle y a renoncé… Nouvelle proposition : la « fiche technique informatique »., fournie en fin de post. Que voici : FC_0610_robeblanche. Ca vous parait comment cette affaire ?

L’indispensable

Il me manquait une pièce essentielle dans ma garde-robe : la petite robe noire, celle qui sert à tout selon la façon dont on l’accessoirise. Je la voulais très confortable et polyvalente.

J’ai utilisé une de mes robes pour faire un patron très très très minimaliste : pas d’emmanchure, le devant est constitué d’une seule et unique pièce (le dos également). Puis j’ai coupé dans un jersey de coton noir (sacrés coupons) très agréable à porter. Et ça donne ça :

Une petite robe à porter en toute saison : sous-pull et collants en laine pour l’hiver, toute seule en été. Elle est parfaite à porter avec des accessoires de couleur, sa sobriété permet tout ! A moi les bijoux voyants, les rubans dans les cheveux, les collants flashy ! Aujourd’hui, ça a été bleu et rose layette (j’adore ce foulard, j’ai complètement craqué dessus et finalement on peut faire des choses sympa avec cette association de couleurs).

Je travaille en ce moment sur un tee-shirt, malheureusement la taille 38 de chez Burda correspond à un 42 (au minimum)… Donc il faut que je reprenne tout ! Et sinon, j’essaye d’avancer mon gilet mais je tricote avec une lenteur désespérante…

La robabouton

Une petite robe de plus, finie juste à temps pour profiter des premières hausses de température !

Le tissu est un coton qui vient de chez stop tissu (1 euro le mètre :-)). Les boutons dépareillés viennent de mon trésor et la dentelle de la mercerie St Pierre. Les parementures sont réalisées en vichy bleu ciel.

Le patron est tiré du retrospective is stylish, il s’agit de la robe n°5. Et je suis ravie : c’est parfaitement taillé ! Je n’ai fait aucune modification. Peut-être que je reprendrai légèrement les pinces de poitrine pour souligner un peu plus la poitrine… J’ai juste ajouté un petit bouton pression au niveau de la cambrure pour éviter les baillements intempestifs qui donnent une vue plongeante sur ma lingerie.

Portée, ça donne ça :

Au final, une jolie petite robe, légère, originale avec sa rangée de boutons tous différents, très agréable à porter. Et le petit truc en plus que j’adore : cette robe a des poches !