Gilet Nori

Ce blog vient de vivre une petite traversée du désert… Entre le boulot (haaaaa, la troisième année de thèse…) et les coutures que je n’avais pas le droit de vous montrer… Mais ça y est, la nouvelle collection de patrons Deer & Doe est sortie, je vais donc enfin pouvoir vous en causer ! Hé voui, non contente d’avoir joué les testeuses pour la 1ère collection, j’ai récidivé pour la 2ième (et je croise les doigts pour qu’Eléonore n’en ait pas marre de moi pour la 3ième ^^).

Mais ça, ce sera pour plus tard (le temps de prendre des photos qui rendent justice aux patrons). Aujourd’hui je vous montre le résultat d’un défi personnel : mon tout premier gilet !

En feuilletant le catalogue femme homme n°70 de Phildar, j’ai complètement craqué sur le gilet n°27 : ajusté, quelques côtes sympathiques, un petit point ajouré mignon et une grande encolure ronde dégagée comme je les aime. Parfait sur une petite robe ou un débardeur ! Au niveau du fil, j’ai joué la sécurité et acheté celui pour lequel le modèle était prévu : le fil Phil Etik, en coton bio. J’ai pris le coloris algue, qui visiblement n’existe plus : c’est un gris avec une pointe de vert. C’est l’horreur à assortir, ça ne av quasiment qu’avec le noir et le blanc, mais je trouve que ça me va bien au teint ^^ (et puis j’ai du noir et du blanc dans mon armoire de toutes façons).

  

Hou, la tête du lundi matin !

Je n’ai pas eu de soucis particuliers, ni pendant le tricot (si ce n’est qu’il me reste 2 pelotes entières de fil o.O), ni pendant le montage. J’ai simplement utilisé des aiguilles 3,25 et 3,75 au lieu d’aiguilles 3 et 3,5 pour avoir le bon échantillon. Le seul échec est survenu tout à la fin : je n’ai pas réussi à faire les boutonnières aussi grandes qu’il aurait fallu (elle se font en tirant sur une maille de la bande de boutonnage et je n’ai pas osé y aller trop fort), du coup j’ai simplement utilisé des boutons plus petits, ni vu ni connu.

Par contre, je crois que j’ai un peu raté mon blocage : toutes les pièces sont un chouïa trop larges et pas assez longues… Du coup je ne suis pas sûre que le rendu soit franchement flatteur tel quel (alors que j’ai déjà fait un deuxième blocage pour essayer de rattraper le coup avant de faire ces photos)… J’espère que le rendu sera un peu plus sympa sur une robette d’été… Dommage parce qu’à côté de ça j’aime toujours autant le style et la couleur ! Vous voyez une solution pour corriger ça ? Ou c’est moi qui divague ?

A venir dès que les photos seront faites : mes tests des nouveaux patrons Deer & Doe et une couture pour homme (si si, j’ai osé !).

Bleuet, ma chouchoute !

Allez, devant votre impatience (légitime, j’en conviens), je craque et j’arrête de vous faire languir : voici une première couture Deer&Doe !

Aujourd’hui, je vais tenter de réparer une injustice flagrante et vachement injuste. En lisant les commentaires sur la page facebook et le blog de Deer&Doe, j’ai pu voir que les patrons Sureau, Pavot, Belladone et Airelle s’arrachaient. Mais personne n’a l’air de craquer sur la robe bleuet, alors que c’est le plus beau des cinq patrons ! Je m’en vais donc vous montrer la génialissimitude de ce patron (à l’aide notamment de photos prises par Nessie, ce qui est forcément un gros plus pour vous faire craquer ^^).

Commençons par le commencement. Bleuet est une robe à découpes princesse (top pour mettre la taille en valeur),  petites manches ballon et col de chemise. Le détail qui tue : un joli nœud pris dans les coutures dans le dos.

J’ai coupé dans une cotonnade anthracite à trame apparente, un coupon de 2m de chez stop tissu, les boutons blancs m’avaient été donnés il y a un bon moment déjà par ma grand-mère (soit une robe à seulement 2 euros et des poussières, les poussières correspondant à l’entoilage thermocollant et au fil ^^). J’ai cousu une taille 40 (dans le tableau des taille je fais du 40 à la poitrine, entre 40 et42 – mais plus proche du 40 quand même – à la taille et 44 aux hanches).

Niveau montage, aucun souci : toutes les pièces et les repères correspondent, les marges de couture de 1,5cm sont comprises dans le patron donc pas besoin de se prendre la tête avec ça, tout roule. J’en ai profité pour faire du beau boulot : toutes les finitions sont IMPECCABLES ! En plus, je vous rappelle qu’il s’agissait d’un test de patron donc j’ai vraiment fait la couturière 1er degré : j’ai scrupuleusement suivi les instructions de Nessie, je n’ai rien ajusté, je n’ai essayé la robe qu’une fois qu’elle était terminée.

Et là, miracle ! Ça tombe juste comme il faut ! Les yeux de Cherzétendre se sont ouvert d’un coup (celles et ceux qui le connaissent savent à quel point c’est rare et sauront apprécier la valeur du compliment ^^) et il a déclaré « c’est ta plus belle robe ! Euh, enfin, juste après la petite noire ce cet été, là « . Je l’aime. Ma robe. Cherzétendre aussi, hein, mais là je parlais de ma robe ^^. Avec des ballerines elle a un petit côté écolière, mais avec des escarpins et les bons bijoux elle est promue uniforme de pin-up ! Je suis particulièrement fan du nœud dans le dos, qui met vraiment en valeur la cambrure.

Au final, la seule vraie difficulté technique, c’est le col de chemise. C’était d’ailleurs la première fois que j’en cousais un ! Mais en s’y mettant calmement, avec ma bible technique de couture, ça a été comme sur des roulettes. Pour ce qui est des découpes princesse, il suffit d’épingler proprement avant de coudre et de soigneusement aplatir les coutures au fer à repasser ensuite.

Alors, convaincues par Bleuet ?

Par contre, il faudra encore patienter un peu pour la suite, le temps que je prenne des photos correctes ^^

Edit de 14h31 : je viens de voir qu’il y a deux photos qui en passent pas, mais je ne comprends pas pourquoi….

Petits pois et bonnes résolutions

Non non, on ne va pas causer régime ! La bonne résolution, c’est de faire descendre mon – mooOOoonstrueux – stock de tissu. La victime du jour : ce qu’il restait du tissu de ma robe tee-shirt. Il s’agit d’un jersey gris anthracite à petits pois gris clair.

Au vu de la surface qu’il restait, il n’y avait pas 36000 possibilités (ni même 35999) : j’ai fait un tee-shirt. Histoire qu’il y ait un chouïa de défi,  j’ai créé le patron toute seule de mes blanches mimines. Et puis il faut voir la complexité du patron : un truc large, avec des manches courtes à même. Hum… Bon… Voilà voilà 😉

A défaut d’avoir cousu quelque chose de compliqué, j’ai soigné les finitions : finition de l’encolure avec un biais coupé dans les chutes, pas de bord laissé à cru. Le côté double face est né d’une erreur : j’ai dû couper le devant en deux demi-devant (à cause de la forme de ma chute) et j’ai par erreur coupé deux demi-devant droits. Comme l’envers du jersey est pile de la même couleur que le fond de l’endroit, j’ai fini par décider que c’était sympa comme ça (et je n’avais de toutes façons pas de quoi re-couper un demi-devant).

Au final, j’ai gagné un bon petit basique, très doux et agréable quand il fait chaud et moite (le bureau dans lequel je travaille devient insupportable dès que les températures montent légèrement). Et il me reste de quoi faire encore un petit débardeur ^^

C’est tout pour ce petit tee-shirt tout simple, il n’y a pas grand chose de plus à dire à son sujet… J’ai encore deux robes à vous montrer (cousues avant les vacances, je suis partie avec et les ai portées mais j’ai oublié de les faire photographier, trop occupée à prendre le soleil – car on ne dirait pas sur les photos mais si si, je suis bronzée, c’est juste que j’ai joué avec la saturation des couleurs des photos). Bref, je fais des photos et je reviens très vite !

La robe tee-shirt

Après le manteau d’hiver, j’avais besoin d’une couture simple pour me détendre. Une couture qui ne demande pas une précision millimétrique, pas trop de pièces, pas de doublure ou d’entoilage, pas de poches, pas de fermeture éclair ni de boutonnière et même pas de patron à décalquer… De l’ultra-simple qui détend.

Je suis partie d’un sublime coupon de jersey viscose gris bleuté à petits pois gris. Il s’agit d’un tissu extrêmement doux et fluide, avec un beau tombé. Je voulais y tailler un petite robe confortable. Et, comme je n’avais pas envie de décalquer un patron ou de chercher un modèle pendant des heures, j’ai improvisé !

J’ai repris les manches raglan d’un tee-shirt adoré, que j’ai allongé et évasé pour arriver à une longueur correcte. Histoire que ce ne soit pas trop tout simple, j’ai ajouté des découpes en triangle au milieu du devant et du dos.

Mais le vrai petit truc en plus, c’est le bout des manches (inspiré d’un truc vu dans burda mais je n’arrive pas à remettre la main sur le bon numéro) : les manches sont fines, trop longues et percées d’un trou, elles se portent comme des mitaines et plissées sur le poignet. Particulièrement agréable en ces temps de températures qui baissent !

Deuxième layette

Toujours pour le même bibou que la dernière fois. La seule différence, c’est que maintenant il est né ! C’est un petit Johan, mignon comme tout (en tout cas en photo). Du coup je voulais lui faire un truc mimi tout plein (ben voui, un bébé DOIT être mimi tout plein) mais pour petit mecton. J’ai fini par trouver mon bonheurs dans les Tricots Intemporels pour Bébés de Cirtronille : le gilet au point de godron.


Gros avantage du modèle : il se tricote en une seule et unique pièce, il ne reste plus que deux petites coutures à faire et une paire de boutons à coudre pour finaliser !

Inconvénient majeur : ben du coup c’est pas drôle à faire… On tricote tout droit, sans réfléchir… Pas un jeté, pas même une petite augmentation ou diminution !

Comme le petit Johan a un papa baraqué et une grande maman, j’ai préféré jouer la sécurité et tricoter direct le 1 an. Ce qui a rendu le truc d’autant plus long et monotone mais bon, passons….

Le fil utilisé est un coton bio (matière et teinture bio) : Cotton Eco Color coloris pierre, de schachenmayr nomotta. Il m’a fallu 3 pelotes. Ce coton est une merveille ! Agréable à tricoter, de très jolies nuances dans la teinte, lavable en machine… Je l’avais acheté dans une petite mercerie, dans un trou paumé de Picardie, pendant de loooooongues vacances… Et j’en viens à regretter de ne pas en avoir pris plus. J’ai vu qu’on pouvait en acheter , et , et en plus en promo ! L’une de vous connait l’un de ces sites ? Fiables ou non ?


Suzette

Attention, attention, grande nouvelle : enfin un post couture ! Wouhou !

C’est l’histoire d’un coupon de liberty ramené de Londres en mai de l’année dernière, dans lequel je n’osais pas couper. Deux petits mètres prévieusement conservés. Et, il y a deux ou trois demaines, j’ai enfin trouvé le patron de robe idéal pour les mettre en valeur ! Dans la foulée, j’ai aussi fait les accessoires qui vont avec.

Comme je suis sadique et que j’aime bien vous faire languir, je commence par les accessoires ^^

Tout d’abord une petite parure collier+BO :

Un petit bout de liberty et un petit morceau de dentelle sont pris sous la loupe du pendentif. Une petite pendeloque est là pour décorer le dos (teaser : vous comprendrez pourquoi en voyant la tenue complète ^^) et des pendeloques similaires se retrouvent sur les boucles d’oreille. Du basique, de l’efficace, rien de très original je vous l’accorde.

Le deuxième « accessoire » est un serre-tête/bibi qui reprend les tissus de la robe (dentelle et bouton du stock). Un petit air de rétro qui va bien ^^

Passons à la fameuse robe Suzette ! Le patron : crepe, de Colette pattern (vous admirerez au passage mon sens de l’humour et mon jeu de mot d’une qualité rare… Qui a dit « et c’est tant mieux » ?), il s’agit d’une robe cache-coeur croisée dans le dos et ceinturée, AVEC DES POCHES.

J’ai tout bien suivi le patron ! Ou presque…

  • pas de parementure entoilée parce que je n’aime pas l’entoilage…
  • … du coup j’ai doublé toute la robe !
  • les coutures retournées qui lient la doublure à l’extérieur de la robe sont toutes surpiquées
  • les finitions des manches et du bas de la robe ont été faites avec la technique du biais (rapide, simple, joli, j’adore faire comme ça ^^)
  • le patron annonce qu’il faut plus de 3 mètres de tissu. Voui, d’accord, mais moi je n’en avais que 2… Du coup, je l’avoue, j’ai fait ma sauvage. Je n’ai absolument pas respecté le droit fil, sauf pour les pièces du milieu devant ! Et ça rentre à un cheveux près, après une quarantaine de minutes de tétris couturistique. Et, même si je sais que c’est mal, il faut bien reconnaitre que là ça ne se voit pas du tout (le motif n’a pas de sens clair et le tombé de la robe est donné par la lourde doublure).

Le tissu principal de la robe est donc ce fameux liberty ramené de Londres. La ceinture contrastante est un heureux hasard : une cotonnade du stock, qui se marie à merveille avec la couleur gris-vert pourtant inassortissable du liberty. La doublure est faite avec une doublure épaisse noire de chez Stop Tissu.

Attention, avalanche de photos !

Soyons clairs : je l’adore déjà ! Trois petites choses à noter sur la photo de dos :

  • Cherzétendre n’a pas encore compris que, quand il me prend en photo, il doit me prévenir si la façon dont je me tiens fait que la robe tombe bizarrement…
  • les deux pans du dos se recouvrent bien, pas de risque de se retrouver le popotin à l’air (ouf !)
  • la fameuse pendeloque arrière du collier vient décorer le beau décollleté en V du dos, suite à une remarque du sus-nommé Cherzétendre sur la beauté du lui-aussi-sus-nommé décolleté dos

Je pense qu’il y en aura d’autres ! J’en referai probablement au moins une pour aller au mariage du cousin de Cherzétendre cet été, j’attends juste l’invitation pour avoir une idée du style à adopter ^^

A part ça, une bonne nouvelle avant de vous laisser : j’ai reçu le patron pour ma jupe de mariée, je vais donc pouvoir me lancer dans la réalisation d’une toile. Je vous montre ça dès que c’est fait bien sûr ^^

Première layette

Je précise tout de suite : non maman, je ne suis pas enceinte !

Ce sont des amis avec qui on a été en cours qui vont avoir un bébé… Le coup de vieux ! Enfin bref, le futur papa étant de passage chez nous cette semaine, je voulais faire un petit quelque chose pour le bébé. L’occasion de tricoter de la layette pour la toute première fois ^^
Pour un bébé de printemps, dont on ne saura que le jour J si ce sera il ou elle, de petits chaussons tout mignons aux couleurs asexuées :

Je les ai tricotés à partir du patron des tiny shoes d’Ysolda, en aiguilles 3, avec du coton bio (matière et teinture bio). Le patron était très bien expliqué, je n’ai rencontré aucune difficulté particulière (si ce n’est que c’est tout petit petit).

Ma grande fierté ? Avoir réussi à faire deux pieds différents et pas deux pieds gauches, histoire que bébé ne parte pas dans la vie avec un gros handicap ^^

Bonnet TTC (Tout Terrain Capillaire)

Le froid revient… Et c’est tant mieux ! Car grâce à cette nouvelle baisse des températures, je vais pouvoir porter mon tout nouveau bonnet qu’il est trop beau qu’il est tout doux que je l’adore !

Le besoin de départ : avoir un bonnet mettable à peu près quelque soit ma coiffure, parce qu’il y a des jours où il est juste impossible de laisser mes cheveux détachés. Mais le bonnet doit aussi être mimi sur cheveux détachés, pour parer aux changements en cours de journée.

La réalisation : j’ai choisi l’Icing Swirl Hat, d’Ysolda. Etant donné que mon échantillon était (comme d’hab) trop petit et que je n’avais pas la taille d’aiguilles au-dessus, j’ai tricoté la grande taille et je l’ai légèrement rallongée (j’ai rajouté 6 rangs) pour être sûre d’avoir un bonnet bien slouchy, bien tout mou, dans lequel je puisse mettre mes cheveux si coiffure il y a.

Verdict en images : cheveux dehors et cheveux dedans, ça le fait !

Conclusion : je l’aime d’amûûûûûûûr ! Pour commencer, il m’a permis d’apprendre un nouveau point (le yarn over) et une nouvelle technique (le magic loop, ceci dit pour le moment je suis quand même plus à l’aise avec des aiguilles double pointes). En plus de ça, il est tombé de mes aiguilles en à peine deux soirées et c’est un véritable doudou grâce à la laine que j’ai utilisée (90g de Baby Alpaca Chunky, de Cascade Yarns). Et puis il est bien chaud. Et il est pile poil du même gris que mon sac à main ! Mais que demande le peuple ?

La snoopuche

Enfin de retour avec de la couture ! On commence tout doucement, histoire de s’échauffer, par une snoopuche. Et une snoopuche, c’est ça (chez moi en tout cas…) :

C’est l’enfant de Mr Snood et de Mme Capuche. L’idée a été piquée chez Promod (on cherchait un cadeau pour une nana frileuse…). En fait c’est bête comme chou, à base de rectangles et puis c’est tout. Histoire de me compliquer un peu la vie, j’ai entièrement doublé ma snoopuche de voile de coton noir. L’extérieur est une maille trop chouette, de chez Stop Tissu.
Ca donne un bon doudou d’hiver, qui tient chaud au cou et aux oreilles.
Bref, une heure de travail (conception comprise) qui paie ^^

Vous  aurez noté que, pour la première fois, j’ai laissé ma tronche entièrement visible sur la photo. Cela pour deux raisons : la première, c’est que si je cache mon visage la snoopuche perd son faire-valoir. La deuxième, c’est qu’après avoir pas mal discuté du fait de mettre sa tête sur internet je ne suis plus aussi butée sur le sujet. Alors à partir de maintenant, soit j’ai une bonne tête sur la photo et je la laisse, soit ça craint et je la cache. Na !

I love knit picks !

Knit Picks, c’est une marque américaine de laine chaudement recommandée par de nombreuses tricoteuses.  J’avais lu que leurs laines sont très douces. Et comme j’avais très envie de me faire un châle, j’ai voulu passer commande chez tricotin.com (seul revendeur en France). Et, bien sûr, je n’ai pas réussi à me décider sur une seule qualité/couleur…. Voilà donc le résultat :

Il y a :

     – 4 écheveaux de shadow (100% mérino) couleur cattail (le trop beau vert)
– 4 écheveaux d’ alpaca cloud (100% baby alpaca) couleur smoke (le trop beau gis clair)
Ces deux laines sont constituées de nombreux fils de teintes légèrement différentes, ce qui donne au final un superbe rendu. Chaque écheveau fait 50g pour un peu plus de 400m. Ca se tricote en 2,5 en simple, ou en 4,5 en double.

La laine de mérino est effectivement douce, et le vert est très subtil (regardez le gros plan !). C’est une chouette laine. Quant au baby alpaca… C’est juste une tuerie ! C’est doux, c’est soyeux, c’est sublime, j’adore, j’en suis folle ! Dès que j’aurai tricoté ça, j’en re-commande de toutes les couleurs !

Et là, il y aura bien une petite maline qui aura remarqué que sur la première photo il manque deux écheveaux verts. Alors oui, je sais que j’ai déjà un gilet en cours et qu’il serait plus raisonnable de le finir. Sauf que le gilet il faut quand même réfléchir pour ne pas louper les augmentations/diminutions, tout ça tout ça, du coup je ne peux pas le tricoter avec le cerveau débranché. Alors que ça, c’est no brain no soucy (prononcer « soussaille »). Donc oui je suis faible, oui j’ai craqué… J’ai  peloté deux écheveaux et j’ai commencé mon trendy châle !

Et avec ce sublimissime alpaca cloud, ce sera le petit cache-coeur noué de la droguerie qui me fait craquer et que je pourrai porter directement sur la peau (donc en été sur un débardeur). A du boulot au rayon tricot !