Aujourd’hui, je vous montre enfin ma dernière cousette de 2013. Il s’agit d’une… Aubépine ! Voui voui ! Alors je sais bien ce que vous allez me dire, dans le post de récapépétage 2013 il y avait déjà deux aubépines. Mais que voulez-vous, quand on aime…. C’est une robe à la fois pratique, confortable, présentable et même avantageuse, alors pourquoi se priver ? Et puis du coup ça va être un tout petit post, vu que je n’ai pas grand chose de nouveau à ajouter à ce sujet ^^
Pour commencer, je dois dire que tout est de la faute de mon coupon…. Il s’agit d’un coupon de viscose noir à fleurettes roses acheté une bouchée de pain chez Stop Tissu, un chouette coupon tout doux mais surtout ultra-fluide. Bref, ce tissu-là huuuuUUUUUuuurlait qu’il voulait devenir une Aubépine et je n’ai pas pu faire autrement que de l’écouter. D’autant plus que j’avais acheté (toujours chez Stop Tissu) un grand métrage de doublure brun foncé bien fluide.
Vous noterez au passage la présence des crocs. Elle sont vertes à fleurs roses donc assorties à la tenue, détail glamour s’il en est ^^. Merci maman !
Vu que les deux versions précédentes m’allaient parfaitement, j’ai recoupé un 40 sans me poser de questions. Et, bien sûr, je ne me suis posée aucune question au moment du montage. Je pense maîtriser l’Aubépine maintenant ^^. Par contre j’en ai un peu bavé à la découpe des pièces (les tissus fluides c’est chouette à porter, mais ça se mérite). Du coup je n’ai pas lésiné sur le nombre d’épingles, j’ai utilisé tout mon stock pour en mettre sur tout le tour des pièces, et ça s’est avéré payant. Comme je voyais d’avance la cata que ça allait être d’essayer de coudre les plis religieuse, je les ai zappés d’office.
Si la couture n’a pas posé le moindre souci, en revanche j’ai regretté de ne pas avoir décati mon tissu : la doublure n’a pas bougé d’un poil mais la viscose a franchement rétréci. Heureusement pour moi, cela n’est pas bien grave sur une Aubépine (qui est de toutes façons plutôt large puis resserrée par un lien). Les manches sont un chouïa plus courtes que ce que j’aime mais, à part ça, tout va bien. Cette robette a déjà beaucoup servi depuis sa couture !
Nous en arrivons donc à la question que je souhaite poser à toutes celles d’entre vous qui n’ont qu’un tout petit appartement avec un séchoir-tour-à-roulettes-lambda-qui-parait-immense-quand-on-le-met-au-milieu-du-salon-mais-n-est-en-fait-pas-si-grand-que-ça : comment faites-vous pour sécher vos coupons de tissus ? Une astuce ?
Oui, je sais, cette photo n’a rien à voir mais je l’ai prise en même temps et elle me plait bien, alors c’est cadeau ^o^. C’est ce qu’on voit quand on se met sous le saule pleureur en décembre et qu’on lève le nez. Au passage, vous noterez que j’ai développé une certaine addiction au format carré pendant les vacances. J’espère que vous supportez, parce que ça va probablement encore durer un moment 🙂