Les timbres personnalisés de la mort qui tue

Il y a deux jours, je vous ai montré les faire-parts. Après s’être tellement embêtés pour faire quelque chose d’original, nous n’avions pas envie de coller un timbre marianne tout bête dessus… Après moult recherches, deux solutions se sont présentées :

  • Faire faire des timbres personnalisés, solution malheureusement plus coûteuse et pas forcément évidente à mettre en oeuvre sans tomber dans le kitsch (et puis j’en avais soupé, plus envie de voir ma palette graphique de près pendant un moment…)
  • Utiliser les timbres coeur à graver Maurizio Galante qui, par chance, existent dans la valeur qu’il nous fallait (le faire-part dépassant allègrement les 20g)

Nous avons donc commandé les timbres , et collé un timbre sur chacune des enveloppes. Ca, c’était la partie facile. Ensuite, j’ai gravé à l’aiguille à coudre un dessin ou un petit message personnalisé sur chacun des timbres (du moins tant qu’on avait de l’inspiration ^^). Voici une petite sélection de mes favoris (parmi lesquels des private jokes, désolée ^^) :

Un rébus – La petite famille de Chamalau

Le mariage princier anglais – Le canard enchaîné

Une référence pour matheux – Un torseur

Une voiture d’auto-école – Un polaroïd

Un cochon d’inde – Une vache

Un caribou

Les faire-parts

Les invités ont reçu les faire-parts… Je peux donc les dévoiler ici ! Notre thème de mariage est « rats de bibliothèque« . Du coup, nous avons voulu faire un faire-part qui soit comme un livre de poche ! Je l’ai entièrement dessiné à la palette graphique sous gimp (logiciel de dessin libre), en partant de papiers scannés (papiers qui servent pour différents éléments de déco), puis fait tirer chez un imprimeur.

Attention, avalanche de photo (avec les noms et lieux cachés, of course…).

Couverture

 

Marque-page RSVP avec nos coordonnées complètes

 

Page 1

 

Pages 2 et 3

 

Page 4

 

Quatrième de couverture

 

Bandeau rouge (pour les invités au repas)

 

Ca a demandé des mois, entre la création et le réglage des couleurs avec l’imprimeur… Les textes ne sont pas parfaitement centrés… Mais je ne regrette pas, Cherzétendre et moi nous retrouvons bien plus dans ce faire-part que dans les modèles « tout faits » que nous avons pu voir ! C’est moins chic, certes, mais tellement plus « comme nous » ^^

En fond des différentes photos, vous pouvez apercevoir :

  • le tissu et le patron de ma jupe, en cours de réalisation
  • le matos pour mon « accessoire de tête » (en cours de réalisation aussi)
  • mes mitaines en dentelle à 3 euros (si, si, mercerie St Pierre) que je veux modifier (c’est une base pas chère et pratique, mais tel quel ça ne me plait pas ^^)

Très bientôt, je vous montre les super timbres qu’on a trouvé pour envoyer ces faire-parts !

Mes présssssssssieuses

J’aurai mis du temps à les trouver mais ça y est : j’ai mes chaussures de mariée !

Il faut dire que j’étais difficile, j’avais une idée bien arrêtée de ce que je voulais :

  • des talons, parce que Fiancédamour est très grand et parce que j’ai mal au dos en chaussures plates
  • pas trop de talons, sinon je vais souffrir et je ne pourrai pas danser
  • fermées, pour cause de port de semelles orthopédiques (pas envie de les zapper pour porter des sandales et d’avoir mal au dos toute la soirée)
  • avec une bride sinon ça ne me tient pas bien au pied et je risque de me vautrer en pleine première danse
  • si possible blanches, ou au moins claires

Rien que ça… Au départ je lorgnais sur cette collection-là. J’adore le côté rétro de ces chaussures. J’ai même trouvé une boutique parisienne qui les avait, mais malheureusement à l’essayage il s’est avérés que les talons étaient vraiment trop casse-figure pour moi.

Après avoir écumé les boutiques de chaussures de la rue de Rennes, j’ai enfin trouvé mon bonheur dans la boutique « 78 ». Ladies and gentleman, let me introduce my bridal shoes : tadaaaaaaaaaaaaa !

Toutes en cuir rose poudré, de la marque Wonders. Très confortables, bien stables, aucun regret ^^ Le petit détail en plus : elles ne font pas « clac clac » sur le plancher ! Pour finir une photo un peu moins « arty », histoire de voir leur véritable couleur :

Yapluka les porter à la maison, histoire de bien les assouplir avant le jour J…

 

{Le corset} Essayage de deux épaisseurs

Il y a quelques jours, j’ai pu essayer deux épaisseurs de mon corset de mariage ! Ces deux épaisseurs sont en fait la doublure intérieure et le coutil (tissu très très très très très résistant placé en sandwich entre le beau tissu et la doublure intérieure). C’est entre ces deux épaisseurs que sont placées les baleines du corset. De ce fait, lors de cet essayage la tenue du corset est déjà sa tenue finale.

Ma mère, venue voir comment lacer et serrer le corset, a eu un peu peur… Et a choisi la photo comme moyen d’illustrer ses craintes :

Alors OUI, un corset, ça SERRE. La peau est ramenée dans le dos, c’est ce qui crée le pli qu’on voit. Je ne trouve pas ça très esthétique mais ce sera caché par une pièce de tissu sur le corset final. Un corset, ça serre, mais ça ne fait PAS MAL ! Parce que c’est quand c’est du sur-mesure la forme est parfaitement adaptée à notre corps, parce qu’on le serre comme on veut. Parce qu’on peut trouver agréable d’être maintenue. En portant ce corset je peux bouger, m’asseoir, parler, rire, je ne suffoque pas, je ne m’évanouis pas.

Pour l’essayage j’avais amené ma toile de jupon (une jupe cercle toute bête) et ma toile de jupe, faite à partir du patron de la Ripple Skirt de Truly Victorian. Il s’agit d’une jupe très ample à l’ourlet, mais dont l’ampleur est concentrée sur l’arrière grâce à trois grands plis plats.

Notons de plus que la ripple skirt est historiquement cohérente avec le type de corset que j’avais choisi (période belle époque). J’ai essayé tout ça ensemble, ce qui nous donne ceci :

On notera, sur la photo du milieu, une des couturières en plein boulot dans l’arrière-boutique ^^

Analyse de la chose : J’AIME !!!!!! Attention, minute auto-satisfaction : 

  • la jupe n’est pas trop large de face donc je ne serrai pas ridicule à côté de ma grande perche de fiancé
  • le jupon tout bête est suffisant pour donner une jolie forme  (pas besoin de crinoline à cerceaux, que je trouve désagréable à porter)
  • mon popotin rebondi se révèle utile ^^
  • ça froufroute sur les mollets, ça tourne, cette jupe sera géniale pour danser
  • je me trouve belle dans mon corset ! Ca me donne l’air plus légère, ça me fait une taille fine, ça met en valeur mes hanches larges, ça met en valeur ma poitrine… Je comprends que les femmes qui étaient obligées de le porter très serré et tous les jours aient voulu s’en débarrasser, mais là j’aime !

En juillet je récupèrerai mon corset fini. Avec les beaux tissus, le ruban blanc, les ptites boutons, la guipure…. J’ai hâte d’y être !!!!

En attendant, reste à s’occuper des accessoires : gants, bijoux, châle, couronne………….

{Le corset} Première toile

Je sors tout juste de mon deuxième rendez-vous avec la corsetière ! Et je me suis dit que ça vous intéresserait peut-être de suivre la réalisation complète du corset par une pro, j’inaugure donc le feuilleton du corset ! Youhou !

Aujourd’hui j’ai essayé la toile non baleinée de mon futur corset de mariée (mode bridezilla on – Hiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!!!! – mode bridezilla off). Du coup ça plisse et ça ne tient pas bien en place quand on ne le tient pas à la mimine, donc les photos ne vous parlerons peut-être pas beaucoup ^^

Heureusement, ça parle à la corsetière ! La toile est beaucoup trop large, les deux bords se touchent carrément dans le dos. Du coup ils vont être sérieusement rabottés. La corsetière a également marqué (directement sur la toile, au feutre) les reprises à faire sur le côté des seins, juste sous la poitrine et en bas du bidou (c’était un peu trop large). Pour finir, elle a dessiné au feutre l’emplacement des baleines sur la moitié du corset (l’autre sera faite par symétrie).

Vous vous souvenez peut-être que, sur le dessin original, une petite ouverture ronde était prévue dans le décolleté. Là elle est juste dessinée à la craie sur le tissu (les traces blanches sur les bandes noires du devant), mais ça m’a permis de me rendre compte que cette ouverture était finalement franchement trop profonde et provocante à mon goût. Du coup, on a décidé de ne pas faire cette ouverture mais de creuser un tout petit peu plus  (pas plus d’un centimètre) le décolleté au centre, pour faire un décolleté en forme de coeur.

Voilà voilà, rendez-vous la dernière semaine d’Avril (argh, c’est loin !) pour l’essayage de la toile retouchée et baleinée !

{La robe} Enfin des nouvelles fraîches !

ATTENTION : vous qui êtes invités au mariage et ne devez rien savoir (je sais que vous vous reconnaîtrez…), passez votre chemin !

Je disais donc : enfin des nouvelles fraîches de ma robe de mariée !

Le corset

Pour commencer, le corset est choisi ! J’ai finalement décidé de le faire faire par Volute Corset, une boutique parisienne spécialisée dans le corset sur mesure. J’ai été reçue par Hélène, l’une des couturières, qui a passé pas moins de 2h avec moi. Nous avons discuté à partir des photos et des dessins que j’avais amenés, puis j’ai essayé des corsets.

Le premier était un modèle victorien long. Vraiment joli et confortable, j’ai beaucoup aimé. J’ai ensuite essayé un corset sur lequel j’avais flashé en le voyant exposé dans la boutique, un corset de type belle époque. Et là ça a été un vrai coup de coeur. C’est vraiment à moi cette taille fine ? Ca peut être beau des hanches épanouies comme les miennes ?

Avant de vous montrer les photos, quelques précisions tout de même :

  • les photos ont été prises avec mon portable, vu que j’avais bêtement oublié mon appareil photo, désolée…
  • ce corset-ci était trop petit pour moi, d’où d’évidents défauts quand je le porte (laçage trop largement ouvert dans le dos, replis de peau au-dessus du corset)

J’adore vraiment les découpes de ce corset, qui convient parfaitement à ma cambrure et à mes hanches. C’est impressionnant de sentir la tension avec laquelle la couturière serrait le corset, alors que je m’y sentais parfaitement bien, à l’aise.

Une fois le modèle choisi, nous avons parlé de tout le reste (tissu, déco, couleur des oeillets…), sachant que je voulais du blanc pur (oui, je sais, ça fait vieux jeu, mais j’adore) et surtout rien qui brille. Ce jour-là j’ai découvert un super tissu grâce à la couturière : le satin de coton. Un joli tombé, pas brillant mais pas non plus complètement mat, il est utilisé principalement pour de la literie « de luxe » (et pour ma robe de mariée du coup ^^). Voilà en gros à quoi on est arrivées :

Les bandes les plus pâles seront réalisées en satin de coton, les bandes plus foncées en broderie anglaise blanche. Le busc (attaches métalliques à l’avant) sera caché par une bande de broderie anglaise sur laquelle seront cousus de petits boutons recouverts de satin de coton. Les espèces de triangles sur les hanches correspondent à des triangles de guipure (sorte de dentelle) appliqués sur les hanches.

 

Le jupon

Je réaliserai moi-même un jupon en broderie anglaise, avec de petits noeuds de rubans de toutes les couleurs sur le bas (et pas de cerceau, je trouve ça franchement désagréable à porter).

 

La jupe

Pour ce qui est de la jupe, c’est une autre histoire, je n’arrive pas à me décider. Je ne veux pas d’effets de matière de folie (genre plissés, bouillonnés) mais je veux de l’ampleur dans le bas de la jupe (que ça fasse frrrrfrrrfrrr contre les mollets) sans pour autant avoir l’air d’une petite grosse à côté de mon grand maigre de fiancé. Et je veux pouvoir danser. Et ça devra être réalisé en satin de coton, pour aller avec le corset.
Je pense finalement la coudre moi-même, parce qu’une jupe ample est largement dans mes compétences de couture mais couterait très cher à faire faire par une couturière (faire un ourlet de 6m, c’est long…).

Là, du coup, j’ai besoin de votre avis.

Pour commencer j’ai fait un essai de jupe cercle toute bête, sans finition d’aucune sorte, juste pour voir le rendu. Je l’ai essayé avec un bustier baleiné (de chez Mim, la classe) pour avoir une idée du rendu final (mais on en est très loin , je m’en rend compte maintenant que j’ai essayé un vrai corset^^). Merci de ne pas commenter ma tronche… Il était tard…

J’aime assez, mais ça me parait presque trop simple…

Du coup j’ai cherché d’autres patrons, et j’ai fini par tomber sur ces-deux là, qui sont de Truly Victorian (clic sur les images pour aller sur la page correspondante) :

       

Notons que, en terme d’époque, la jupe et la traîne ci-dessus ne sont pas trop éloignées du corset choisi (période belle époque). La jupe (à gauche) me semble bien répondre au cahier des charges (ampleur en bas, mais fine de face). La traîne détachable (à droite) est, comme son nom l’indique, amovible : ça pourrait être un bon moyen d’avoir une jupe plus « impressionnante » pour la cérémonie, puis je pourrai l’enlever le soir pour danser. Mais la traîne détachable fait débat : la témouine aime, la mère n’aime pas. Et moi je n’arrive pas à me décider… AAAaaaaAAAAAaaaAA !

Les options sont donc :

  1. Seulement la jupe cercle
  2. Seulement la jupe de Truly Victorian
  3. La jupe cercle + la traîne amovible
  4. La jupe Truly Victorian + la traîne amovible
  5. Une autre proposition ?

Qu’est-ce que vous préférez ? Pitié, aidez-moi ! Donnez votre avis !

Bonne nouvelle pour les impatientes de la saga de la robe de mariée : je vais essayer la toile du corset mercredi, donc très vite de nouvelles photos !

{La robe} De retour des essayages !

Oupf, ça faisait longtemps que je n’avais rien posté… En un peu plus d’un mois j’ai pourtant fait des choses, mais peu et soit ratées (couture) soit encore en cours (tricot). Et puis surtout, j’ai beaucoup cogité sur ma future robe de mariée ! Donc c’est parti pour un résumé des différents changements d’orientation ^^

Pour commencer, j’ai mis un peu d’eau dans mon vin. Parce que faire toute sa robe soi-même, c’est quand même un certain stress (d’autant plus que je me connais… ). Parce qu’avoir une robe faite sur mesure par une couturière professionnelle est un rêve au moins aussi chouette que celui de faire sa robe de mariée soi-même. Alors j’ai pris une décision du genre compromis : je fais faire un beau corset par une pro et je couds la jupe (et le boléro, le petit sac, tout ça tout ça). Parce qu’une jupe ample comme je veux, c’est total à ma portée, pas de risque d’être déçue le jour J ou de me vautrer complètement.

Pour le corset, j’ai déjà repéré une boutique parisienne qui fait de très belles choses sur-mesure. Il s’agit de Volute Corset. Quelqu’un connait ? Des avis ?

A part ça, j’ai profité de la venue de deux super copines pour aller faire des essayages ce week-end au grand salon du mariage de Paris. En voyant les robes « en vrai », je me suis rendue compte d’un truc : la plupart ne me plaisent pas (ou en tout cas pas autant qu’en photo). Tissu très rigide, truc impossible à porter toute une journée sans s’énerver, truc in-dansable, tissu brillant qui fait cheap ou too much… J’ai tout de même eu deux coups de coeur et fait deux essayages.

La première robe est le modèle Dentel de Nana couture, proposé par la boutique O’Scarlett. Sur le magazine, elle ressemble à ça :

Et en vrai, ça donne ça (photos prises en catimini par une amie, désolée pour la qualité…) :

J’ai caché ma tête parce que là elle était vraiment trop catastrophique !
Analyse de la chose : les volants alternés (tissu plissé / dentelle) donnent un côté très léger à cette robe. Visuellement, elle me plait beaucoup ! Mais en vrai, elle est trop rigide… Par contre, ça m’a permit de me rendre compte qu’il fallait que je porte une jupe moins ample que ce à quoi je pensais au début, sous peine d’être rétrécie et élargie (et comme chéri est gigantesque et très très fin, j’aime autant éviter de faire petite dondon à côté de lui).

Deuxième coup de coeur sur le stand « mariées de provence ». Une robe totalement atypique : en lin brodé. Malheureusement pas de photos de moi… Mais sur les mannequins ça donne ça :

Ces photos ne lui rendent pas du tout honneur ! Il y a un joli laçage dans le dos, les broderies sont très fines, l’ampleur de la jupe est portée sur l’arrière avec un jeu de plis sur les fesses et la surjupe brodée est ouverte dans le dos, ce qui donne deux jolis pans de lin avec un très beau tombé. La dentelle et la broderie amènent de la douceur et de la finesse au lin. Le fait que la jupe soit plissée derrière amène de l’ampleur/de la souplesse/de la liberté de mouvement sans pour autant élargir, je crois que c’est ZE super astuce !

Je pense m’inspirer de cette robe pour faire ma jupe : plis au milieu du dos (tombe très joliment avec le popotin dont je suis dotée) et surjupe pas complètement fermée brodée. Au niveau matière, je pencherais bien pour corset et surjupe en lin, mais jupe en coton (moins froissable et plus doux).

Jeune couturière et future mariée cherche conseils et avis afin d’être
sûre de ne pas se planter sur un truc aussi important que sa robe de mariée
. Mesdames, mesdemoiselles et messieurs (je sais qu’il y en a au moins deux qui passent ici de temps à autre !!!!), à vos commentaires ! Je précise que Cherzétendre était avec moi pour les essayages et a dit que, avec les deux robes que j’ai essayé, il aurait dit oui.

Je vais dessiner tout ça et je vous fais des croquis pour le prochain billet, promis !

PS : les robes présentées sur les stands étaient à ma taille, grand moment de satisfaction !!! Satisfaction bas niveau, primaire, mais tout de même non négligeable ^^

{La robe} Inspirations

Attention, post fleuve ! En même temps, la robe de mariée, c’est un sujet sérieux. Je mets uniquement des miniatures des photos, histoire que le post ne soit pas trop long à charger, mais il suffit de cliquer dessus pour les voir en grand.

Commençons donc par le commencement. Il y a au moins un an (c’est-à-dire bien avant que Cherzétendre ne me demande de l’épouser), j’avais repéré une robe de créateur que j’avais trouvée sublime de simplicité. Elle vient de l’Atelier d’Organse.

J’aime tout particulièrement le décolleté dos arrondi. Donc critère n°1 : ma robe devra être relativement simple, pas 18000 plis partout, pas plein de petites fleurs en tissu appliquées, etc.
Puis je me suis souvenue d’une autre robe qui m’avait fait totalement rêver, je vous le donne en mille : la robe de mariée de Marie-Jane, dans spiderman 2 ! Voyez les références ! Enfin bon, passons, voici la robe en question sous toutes les coutures :


Cette robe respecte le critère de simplicité (tissu blanc uni, peu de fioritures) et c’est pourtant une vraie robe de princesse ! J’adore les photos où elle court. C’est ce que je veux, une robe de princesse pleine de tissu léger, pour éviter le côté meringue congelée monobloc. Passons aux détails…

La forme de la robe : j’ai la taille plutôt fine et haute, avec une poitrine de dimension moyenne et un fessier généreux. Donc ce qui me va, ce sont les robes ajustées qui mettent en valeur la taille puis s’évasent, un peu dans le genre de celles qui suivent (surtout la deuxième), un mix entre robe de princesse et robe de danseuse étoile (depuis quelques jours je retrouve mes yeux de petite fille, c’est dingue…). J’aimerais souligner la taille de façon discrète, avec un appliqué de dentelle blanche large (10cm) autour de la taille et un ruban blanc fin (1cm) par-dessus (j’ai découpé la photo d’une robe décorée comme ça dans un magazine, du coup je ne l’ai pas en numérique, désolée).

La forme du haut : je ne suis pas fan de mes aisselles (c’est comme ça, cherchez pas) et je trouve que de petites manches me vont bien (pourquoi pas des petites manches ballon, comme les deux du milieu). Mais j’hésite encore entre deux solutions : une robe d’une pièce comme celles de gauche, ou un corset avec un corsage en mousseline en dessous dans le genre de celle de droite. En tout cas j’aimerais faire un décolleté de forme danseuse devant, pas très profond, et un beau décolleté dos (comme la toute première robe que je vous ai montrée). Si je fais une robe d’une pièce, je veux (et ce n’est pas négociable) une rangée de tout petits boutons ronds blancs (cf robe de gauche)… Pas pour le fonctionnel, on s’en fiche, juste pour faire joli ^^

Le bas : je ne veux pas porter de crinoline, je voudrais créer le volume uniquement avec le tissu (je préfère peu de volume en tissu que beaucoup en crinoline). J’aimerais faire un jupon à plusieurs couches, celles du dessus étant  à chaque fois un peu plus courtes pour qu’on les voie toutes (cf robe de gauche). Chaque couche serait dans un tissu différents (les plus légers sur le dessus), seule la couche supérieure serait éventuellement rattachée au haut de la robe, le reste serait sous forme de jupon, fixé autour de la taille. Pour ce qui est de la nature des tissus, j’aimerais des choses plutôt simples (du plumetis, du voile de coton…).

Et puis je veux une robe toute blanche. Voilà, je crois que j’ai pas mal fait le tour ! Vos avis ?
La prochaine fois, des croquis !!! (whoua le teaser…. ^^)

Rien que du neuf !

Aujourd’hui c’est la rentrée/reprise active du boulot pour beaucoup de monde (voui, moi aussi je suis au boulot, mais c’est pause relaxation et caféinisation neuronale avant de s’y remettre de plus belle). Un petit air de neuf sur ce blog également : une nouvelle catégorie !

Et au cas où le titre de cette nouvelle catégorie ne serait pas assez explicite (et pour le plaisir de l’écrire, ne nous voilons pas la face ^^) : je vais me marier ! Mais normalement ce blog n’est pas un « moi, ma vie, mon oeuvre », alors qu’est-ce que ça vient faire là ?  Hé bien qui dit mariée dit robe de mariée ! Et puis en tant que fan d’Elodie Ciseau (mon histoire préférée de quand j’étais petite, celle d’une souris couturière de robes de mariées, toute couturière devrait la lire à sa fille :)), j’ai quand même un certain standing à tenir ;o)

Ce sera donc ZE gros projet de l’année : coudre d’ici août 2011 ma robe de mariée ! A suivre !